Expositions récentes

Sommaire

Les Corps purs : Katerina Christidi, Catherine Geoffray, Camille Grosperrin et Pascal Teffo, 2021
La Vie silencieuse : Harold Guérin, Maude Maris, Kristina Shishkova et Stéphane Thidet, 2020
Utopie / Maladrerie : Julie Balagué, 2019
Life on Mars : Benjamin L. Aman, Marion Auburtin, Alexandre et Florentine Lamarche-Ovize et Bettina Samson, 2019
– Axolotl : Thierry Fournier et Laura Gozlan, 2018
– L’Évidence de la nuit : Bruno Gadenne, Vassilis Salpistis et Juliette Vivier, 2018
– Faire chantier, Bernard Calet, Isabelle Ferreira, Thomas Guyenet, Claude Lévêque, Pascal Lièvre et Benjamin Sabatier, 2017
– Inside Out : Jessica Servières, 2017
– Le Silence est d’or, Virginie Descamps, Irina Rotaru et Gabrielle Wambaugh, 2017
– Dynamique des fluides, Céline Cléron, Béatrice Cussol, Sophie Gaucher, Camille Grosperrin, Isabelle Lévénez et Pierrick Naud, 2016
– Proliférances, Carte blanche à Jennifer Caubet et Flavie Pinatel, 2016
– Images des images<, Pascale Barincou, Martine Moreno, Véronique Santini, Maïté Servières, Michèle Sorosina et Judith Vittet, 2016 - Sleep Disorders, Marion Auburtin, Juliana Borinski, Julia Cottin, Marina Gadonneix, Florentine & Alexandre Lamarche-Ovize, Benjamin L. Aman, Bettina Samson, Eric Stephany, Julien Tiberi et David De Tscharner, 2014


Les Corps purs

Katerina Christidi, Catherine Geoffray, Camille Grosperrin et Pascal Teffo
Commissaire d’exposition Juliette Fontaine

Exposition du 10 mai au 6 juin 2021
20, coursive Georges Méliès, 93300 Aubervilliers

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Extrait du dossier de presse

Qui n’a jamais connu ou pressenti le plaisir de dessiner ? Ne serait-ce que celui de crayonner une ligne même fragile sur le coin d’une feuille de papier, ou celui de griffonner une forme chétive et aussi frêle que le geste non affirmé qui l’aurait ébauchée ? Dessiner, c’est la délectation de tracer, de croquer sans encore figurer, c’est le délice de traverser l’espace, de biffer le vide pour le rendre visible. Lorsque l’on dessine, on ne cherche pas tant à représenter mais on désire l’avènement d’une forme. On guette son impulsion, sa boursouflure, on piste son soulèvement, on épie son élaboration plus que son aboutissement. Et dans le dessin achevé, c’est encore un élan qu’on désire éperdument, une source vivante, un recommencement possible. La promesse d’un soubresaut, d’une aurore, d’une feuillaison. (…)

Un des axes majeurs de cette exposition est donc le dessin, et plus ouvertement, la ligne. Même la présence de sculptures restent fidèle à cette idée car ces dernières sont le résultat d’un travail de courbes, de sillons, de veinures, ce ne sont pas des formes surgies des écorchures de la matière et il n’y a aucune empreinte de la main à leur surface. Toutefois le dessin n’est pas à prendre comme une thématique de l’exposition, cette posture serait beaucoup trop restrictive, scolaire. Le propos se veut plus libre et fluctuant car tout dépend de ce que nous entendons par dessin. Pour ma part, il s’agirait presque d’un mouvement vers. Ce mouvement énigmatique par lequel un artiste est amené à dessiner mais aussi le mouvement par lequel notre regard, notre pensée, notre sensibilité répond à celui dont la trace s’est déposée sur le papier. Nous gageons que ce mouvement est celui d’un plaisir éprouvé autant par le dessinateur que par celui qui le regarde. Bien davantage, nous parions que ce plaisir est intrinsèque au dessin parce que le dessin est une prise de liberté, une libération : celle de l’accès à la forme. (…)

Aussi, le titre Les Corps purs est à prendre dans son sens scientifique en évoquant une substance qui n’est composée que d’un seul type d’élément chimique. Chacun des artistes exposant travaille avec un unique médium. Katerina Christidi dessine sur de la toile au fusain souvent de très de grands formats. Catherine Geoffray dessine ses rêves avec un stylo à bille et sculpte de petites formes hybrides en une pâte céramique cuite sans glaçure d’un aspect mat. Avant et pendant la réalisation d’un de ses films, Camille Grosperrin dessine à l’encre de Chine des schèmes narratifs tout en finesse. Quant à Pascal Teffo, graveur dans l’âme, il dessine à la mine de plomb des univers telluriques, des géographies presque cosmiques.

Juliette Fontaine, Aubervilliers, avril 2021


La Vie Silencieuse

Harold Guérin, Maude Maris, Kristina Shishkova et Stéphane Thidet
Commissaire d’exposition Juliette Fontaine

Exposition du 14 mars au 5 avril 2020 – Réouverture après confinement du 18 au 30 mai 2020
Dans un appartement de La Maladrerie, 7, allée Georges Braque – 93 300 Aubervilliers

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Photographies Thierry Fournier


Utopie/Maladrerie

Julie Balagué
Commissaire d’exposition Juliette Fontaine

Exposition du 4 mai au 16 juin 2019
Dans un appartement de la Maladrerie
3, allée Gustave Courbet – 93300 Aubervilliers

Cette exposition est issue de la commande photographique nationale des Regards du Grand Paris du ministère de la Culture et de la Communication – Ateliers Médicis et Centre national des arts plastiques). L’exposition rassemble photographies, textes, installations sonores et sculptures. Conçu avec les habitants du quartier, le projet met en scène des personnes, devenues personnages, dans une architecture devenue décor. Ce travail questionne ainsi les orientations économiques, politiques et psychosociologiques du projet architectural initial du quartier de la « Maladrerie », conçu dans les années 1970 par l’architecte Renée Gailhoustet. L’exposition a lieu dans la galerie du CAPA, un des 1000 logements du quartier mis à disposition par l’OPH d’Aubervilliers, et s’intègre dans un projet innovant initié par Juliette Fontaine (directrice du CAPA) de mise en contact de la création artistique contemporaine avec la population de ce quartier sensible.

Le projet Utopie / Maladrerie s’intéresse au territoire urbain comme représentation des orientations économiques, politiques et psychosociologiques du projet architectural. Ce travail considère la notion d’utopie architecturale et la façon dont les habitants ont pu s’en emparer. Conçues avec les habitants du quartier, ces images mettent en scène des personnes, devenues personnages. L’architecture devient décor, et l’habitat, scène. Ces images dessinent la frontière entre le quotidien d’un territoire, et l’utopie dont il tire son origine.

Partenaires

Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis ; OPH d’Aubervilliers ; Mairie d’Aubervilliers ; Ministère de la Culture et de la Communication ; Centre Nationale des Arts Plastiques ; Ateliers Médicis.

Exposition collective organisée par le CAPA – Centre d’Arts Plastiques d’Aubervilliers, La Maladrerie – Aubervilliers, avec le soutien de l’OPH, la ville d’Aubervilliers et le Département de la Seine-Saint-Denis. Photographies © Thomas Guyenet 2019.


Life on Mars

Benjamin L. Aman, Marion Auburtin, Alexandre et Florentine Lamarche-Ovize et Bettina Samson
Commissaire d’exposition Juliette Fontaine

Exposition du 16 mars au 7 avril 2019
3, allée Gustave Courbet – La Maladrerie – 93300 Aubervilliers

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(…) Cette exposition n’a pas de thématique, ni de fil rouge à proprement parler. Elle ne regroupe pas des artistes autour de la tellurique planète rouge et de tous les fantasmes qu’elle suppose tels que sa colonisation, ou ses hypothétiques habitants aux yeux écarquillés, aux paupières décousues. Parfois, dans les œuvres des artistes choisis, apparaissent des présences, des étrangetés, des fantômes, des esquisses d’utopies, des références à la science-fiction, des objets dont l’improbabilité serait digne de la non-fonctionnalité de la tasse de thé du Lièvre de Mars dans Lewis Carroll. On y trouve même des images récentes de la NASA. Mais on ne trouvera aucune nouvelle interprétation de la conquête spatiale inaugurée par Jules Verne et incarnée dans La Guerre des mondes. Aucun monstre entomologique, aucun reptilien luminescent, aucun être repoussant doté d’une tête démesurée et de tentacules, aucun petit bonhomme vert grisâtre. Aucun alien. Peut-être quelques mutants.

L’axe partagé ici est très clairement la notion de territoire, et en particulier celui de la Maladrerie. Tous les artistes ont leur atelier dans le quartier. Le match est à domicile. Chaque artiste s’avance avec une nette singularité à mettre en regard avec celle de l’autre, voire de la mettre en tension dans un même espace d’exposition. Dès le départ, le choix du CAPA de créer des expositions en appartement est un défi qui questionne en soi ce que peut-être une exposition. À l’aune de cette démarche, l’expérience que constitue Life on Mars est d’autant plus expérimentale du point de vue de son montage, que les univers de chacun des cinq artistes sont assez différents. Si on doit faire émerger un autre point commun entre eux, c’est l’amitié qu’ils se portent. Ce qui pourrait sembler anecdotique mais qui ne l’est sûrement pas quand il s’agit de s’exposer dans un même lieu avec des originalités si fortement dessinées, et de questionner peut-être, par là même, l’altérité.(…)

Exposition collective organisée par le CAPA – Centre d’Arts Plastiques d’Aubervilliers, La Maladrerie – Aubervilliers, avec le soutien de l’OPH, la ville d’Aubervilliers et le Fonds de dotation Agnès b. Photographies © Thomas Guyenet 2019.


Axolotl

Thierry Fournier et Laura Gozlan

Du 5 au 28 mai 2018
Dans un appartement de la Maladrerie à Aubervilliers, après une résidence

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Le projet Axolotl prend pour point de départ une convergence entre les démarches des deux artistes : un principe de transformation du vivant et d’expérimentation de ses limites. Animal aquatique rare originaire du Mexique, l’axolotl a la triple singularité de vivre à l’état larvaire, de pouvoir régénérer ses organes endommagés et de développer des poumons s’il est extrait de son mileu aquatique – ou sous l’effet d’hormones spécifiques. Ces créatures sont présentes dans plusieurs fictions, notamment dans Dune de Franck Herbert où les axlotl tanks permettent des clonages, et Le Procès de l’homme blanc de Yann Quero où ils sont utilisés pour concevoir des réseaux neuronaux télépathiques.

La pratique de Laura Gozlan s’articule autour de films expérimentaux, de sculptures, vidéos et installations visuelles. Elle s’intéresse notamment aux utopies scientifiques et à leurs communautés, explorant les liens entre contre-culture et posthumanisme, new-age, cybernétique, et leurs dystopies. À travers une pratique d’objets, d’installations, de prints, pièces en réseau et vidéos, la démarche de Thierry Fournier forme quant à elle l’hypothèse d’une vie propre des choses, pour questionner la manière dont elles suscitent une reconfiguration de l’identité et de l’altérité. Les deux artistes se connaissent bien. Ils ont collaboré une première fois en 2013, lorsque Thierry Fournier a invité Laura Gozlan dans le cadre de Ce qui manque, résidence de recherche et exposition dont il était commissaire à La Panacée (Montpellier) : Laura Gozlan y a créé l’installation Remote Viewing. Cette expérience a initié ensuite un dialogue constant sur leurs travaux, nourri par de nombreux champs d’intérêt communs.

Photographies © Thierry Fournier 2019.


Vassilis Salpistis

L’Évidence de la nuit

Bruno Gadenne, Vassilis Salpistis et Juliette Vivier
Commissaire d’exposition Juliette Fontaine

Exposition du 10 mars au 1er avril 2018
3 allée Gustave Courbet 93 000 Aubervilliers

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L’Évidence de la nuit évoque en premier lieu le paysage. Les tréfonds du paysage, et peut-être même ceux des êtres qui le traversent, qui s’y cachent ou émergent de ses plis. Son intimité indicible. Son énigme. Si la nuit fait songer naturellement au ciel, son immensité, avec les songes qu’elle convoque, la nuit est ici autant la terre, la forêt, le jardin, le sol lunaire, la grotte, la clairière déflorée, l’épaisseur vaporeuse des nuages, le chant de la source d’eau, le silence des pierres et des végétaux. Le silence habile des bêtes. Le silence de la déambulation des hommes. Elles sont pourtant rares ces présences humaines dans ces « paysages avec figures absentes ». Toutes les formes paraissent sortir de l’ombre. Elles vibrent. Comme des fantômes. Comme des âmes incrustées dans la vacance de l’horizon. (…)

Exposition collective organisée par le CAPA – Centre d’Arts Plastiques d’Aubervilliers, La Maladrerie – Aubervilliers, avec le soutien de l’OPH, la ville d’Aubervilliers et et le Fonds de dotation Agnès b. Photographies © Thomas Guyenet 2018.


Faire chantier

Bernard Calet, Isabelle Ferreira, Thomas Guyenet, Claude Lévêque, Pascal Lièvre et Benjamin Sabatier
Commissaires d’exposition : Juliette Fontaine et Isabelle Lévénez.

Exposition du 5 au 28 mai 2017
3 allée Gustave Courbet 93 000 Aubervilliers

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Faire chantier, hors des lieux d’exposition habituels ; inviter six artistes dont les pratiques se confrontent radicalement aux espaces et aux lieux ; le faire avec attention dans un quartier fragile, en relation étroite avec ses habitants et son quotidien ; déployer cette proposition dans un appartement HLM en interrogeant notre capacité à transformer le réel : tels sont les points de départ de cette exposition, emblématique à de nombreux égards de la démarche du Capa – Centre d’Arts Plastiques d’Aubervilliers.

Les deux commissaires Juliette Fontaine et Isabelle Lévénez présentent ici dix-sept œuvres de six artistes : seize choisies pour leur résonance forte avec ces idées – et une création in situ. Bernard Calet déploie cinq installations qui constituent autant de dispositifs potentiellement en transformation, associant matériaux bruts de construction et signes de la modernité. À travers ses paysages abstraits, Isabelle Ferreira explore les relations et les passages possibles entre peinture, sculpture et architecture, planéité et spatialité. Avec ses deux images du chantier des Halles à Paris – un espace et un portrait, Thomas Guyenet retranscrit l’expérience de lieux en devenir et donne à voir, en les déplaçant, les changements qu’ils peuvent susciter. Pascal Lièvre réactive ironiquement avec deux vidéos et un dessin des éléments de langage révolutionnaire qui, ainsi recontextualisés, résonnent singulièrement dans ces murs. Benjamin Sabatier déploie trois sculptures dans lesquelles les assemblages parfois trompeurs de matériaux bruts et quotidiens évoquent la possibilité d’une appropriation par tous et d’une construction commune. Claude Lévêque, quant à lui, signe une création pour l’exposition : une installation in situ qui fait d’une chambre de logement social le lieu d’une transformation brutale, d’un souvenir ou d’une utopie.

Texte Thierry Fournier
Photographies © Thomas Guyenet 2017.


Virginie Descamps et Irina Rotaru

Le Silence est d’or

Virginie Descamps, Irina Rotaru et Gabrielle Wambaugh
Commissaire d’exposition Juliette Fontaine

Exposition du 11 mars au 2 avril 2017
3 allée Gustave Courbet dans un appartement de la Maladrerie – Metro Fort d’Aubervilliers.

Le Silence est d’or. L’œuvre d’art ne délivre pas un sens à la manière des messages que l’on échange en communiquant par le langage. Elle n’a pas prioritairement une fonction de communication car cela supposerait qu’il faudrait comprendre une oeuvre pour la recevoir et l’apprécier. Ce n’est pas le cas.

Le titre de cette exposition Le Silence est d’or n’est bien entendu pas littéral, mais déjà donne sens par l’aridité ronde de sa forme poétique : une ligne japonaise, un haïku. Il ne s’agit pas d’évaluer la présence du silence dans les oeuvres des trois artistes exposées, mais peut-être plutôt l’amplitude de leur rigueur toute voluptueuse qui les sous tend et en affecte l’évidence de la représentation qu’elles proposent. Et en effet que représentent-elles ? De l’espace ? Du temps ? Des corps ? De l’organique ? De l’animal ? Du végétal ? Du minéral ? De l’objet ? En fait, des agencements possibles de ces univers différents et qui les rendent intimement liés. Elles sont surtout des matières de la pensée en mouvement. Elles créent des espaces d’expériences sensibles multiples qui nous désorientent et nous ravissent dans leur duplicité de sens.

Photographies © Thomas Guyenet 2017.


Jennifer Caubet

Proliférances

Carte blanche à Jennifer Caubet et Flavie Pinatel

Exposition du 20 au 29 mai 2016
Dans un appartement de la Maladrerie
6 passage Daquin, 93300 Aubervilliers

Exposition de Flavie Pinatel et Jennifer Caubet, qui vivent et travaillent toutes deux à Aubervilliers. Le projet a proposé deux regards croisés sur le quartier de la Maladrerie, tant du point de vue de la vie des habitants que de l’architecture singulière de Renée Gailhoustet.

Photographies © Juliette Fontaine


Imades des images-Web

Images des images

Pascale Barincou, Martine Moreno, Véronique Santini, Maïté Servières, Michèle Sorosina et Judith Vittet
Exposition des collages réalisés pendant un stage dirigé par l’artiste Vassilis Salpistis
Commissariat Juliette Fontaine

Exposition les 7 et 8 mai 2016
6 passage Daquin, quartier de la Maladrerie à Aubervilliers


Pierrick Naud et Béatrice Cussol

Dynamique des fluides

Céline Cléron, Béatrice Cussol, Sophie Gaucher, Camille Grosperrin, Isabelle Lévénez et Pierrick Naud
Commissariat Juliette Fontaine

Exposition du 12 au 27 mars 2016
Dans un appartement de la Maladrerie
6 passage Daquin, 93300 Aubervilliers
Avec le soutien de l’OPH d’Aubervilliers

Photographies © Thomas Guyenet 2016.


Sleep Disorders # 9 : Eric Stephany, Marion Auburtin, Bettina Samson et Juliana Borinski – Octobre 2014

Sleep Disorders

Marion Auburtin, Juliana Borinski, Julia Cottin, Marina Gadonneix, Florentine & Alexandre Lamarche-Ovize, Benjamin L. Aman, Bettina Samson, Eric Stephany, Julien Tiberi et David De Tscharner
Commissaires d’exposition : Marion Auburtin et Benjamin L. Aman

Du 11 au 26 octobre 2014
dans un appartement de la Maladrerie, 26 rue Lopez et Jules Martin.

Photographies © Thierry Fournier 2014.

sophie-gaucher-01

Performance de Sophie Gaucher, artiste invitée par le CAPA. L’artiste est intervenue sur l’architecture de Renée Gailhoustet au 26 rue Lopez et Jules Martin en rétroprojetant un dessin. Durée 30 minutes. Vous pouvez regarder la vidéo en cliquant sur le nom de l’artiste.